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Mon
père avait 40 ans et nous jouions déjà une
sorte de volley, dans la forêt Saint Ferdinand de Maëlma,
au-dessus d’un filet tendu entre deux arbres.
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Pique-nique
de l’époque. Chaque couple avait sa table pliante,
ses chaises, et la nourriture était mêlée.
Maëlma.
Ah, revoir sa forêt !
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Nous
ne connaissions pas exactement les règles du jeu mais nous
aimions envoyer la balle dans le camp adverse et marquer des
points.
Un volley pratiqué selon monsieur Buffin du RUA,
d’une façon désordonnée et sans
méthode.
Les amis de mes parents s’étaient
laissés prendre à ce jeu brouillon et notre volley
était très vite devenu un volley pagaille.
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Et si les sous-bois n’ont pas
été saccagés, je retrouverai le chemin.
C’était
une façon d’être heureux car il faut replacer
les faits dans le contexte de l’époque. C’était
au tout début des années 50.
Cette photo nous
montre le coin où les parents dressaient les tables; notre
« terrain » de volley était un peu
plus loin. Les dimanches d’automne ou d’hiver sans
pluie, les dimanches du printemps, nous les passions souvent ici.
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