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A Maurice Faglin, le Président du RUA : Missou,
je te redis encore une fois merci pour ton aide.
Merci à
toi aussi Jean-François Collin, athlète du RUA, qui
a mis une large documentation à mon service. Nous avons
foulé tous les deux et à la même époque,
la piste du stade Leclerc.
Et puis nous avons connu l'armée
en temps de guerre, la Kabylie… Et la fuite de notre
jeunesse. Mais, parce que nous n’avons rien oublié,
nous disons toujours : Semper fidelis.
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L’année
1953/1954 a marqué le début d’un sport que je
crois avoir beaucoup aimé.
Un sport que j’ai,
disais-je, aimé mais pour lequel je n’ai jamais été
vraiment doué car j’ai toujours vu, autour de moi,
des joueurs plus grands, plus athlétiques, plus puissants
dans les attaques, plus précis dans le service.
Bref, je
suis resté un joueur moyen qui a parfois fréquenté
les grands et qui les a (ces grands) beaucoup admirés.
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